post-thumb

Histoire de la pédagogie

Par Etiennette Vellas, Docteure en sciences de l’éducation

On a de tout temps éduqué les enfants. Et parions que de tout temps il y a eu des pédagogues, c’est à dire, des personnes élaborant une pensée de l’éducation à partir de leur propre pratique d’éducateur. Des praticiens-théoriciens de l’action éducative, comme nous les définissons aujourd’hui. Faute d’écriture, leurs traces ayant été perdues avant l’Antiquité.


Art, science, théorie-pratique ?

Faire l’histoire de la pédagogie, c’est devoir d’abord faire celle de la notion de « pédagogie », car celle-ci a changé de sens au cours des siècles. Tout cela est dû à l’histoire des idées, des institutions éducatives et à l’évolution des connaissances sur lesquelles les penseurs de l’éducation s’appuient.

Photographie: © Institut Florimont

 LN 1662

La pédagogie : un art

La pédagogie a été définie comme un art. L’art d’éduquer, de conduire les enfants au savoir, une conception rappelant l’origine du travail du pédagogue de l’Antiquité grecque. Cet esclave à la noble mission conduisant l’enfant de son maître à l’école, tout en veillant à sa tenue, ses jeux, son travail.
Mais c’est Socrate (Vème siècle avec J.-C) qui est donné comme la figure tutélaire de la naissance de la pédagogie.

La pédagogie : une science

À la fin du XIX, avec l’essor de la sociologie et de la psychologie, la pédagogie a été définie comme une « théorie pratique » à qui on a cherché à donner un statut scientifique. On a revendiqué pour elle l’appellation de science en précisant bien que son but n’était pas, comme les autres sciences, de décrire ou d’expliquer, mais de diriger l’action éducative. Une science qui pourrait dire comment faire pour éduquer. Le conditionnel est ici de rigueur, car la pédagogie comme « La » science de l’éducation » ne s’est pas créée, laissant la place à l’avènement des sciences de l’éducation, une discipline plurielle qui, avec le temps, a montré que cette drôle de science nommée « Pédagogie » n’y était pas soluble.

La pédagogie : une « théorie pratique »

Aujourd’hui, on ne débat plus pour savoir si la pédagogie est un art ou une science.
Nous sommes à une époque où la pédagogie se définit, en la comparant à la médecine ou à la politique, comme une « théorie pratique » unissant dans un même mouvement pensée et action éducatives.

L’histoire de la pédagogie ne peut être ainsi qu’une histoire de pédagogues, c’est à dire comme le dit Jean Houssaye, de praticiens-théoriciens de l’action éducative. De femmes et d’hommes « engagés dans une réalité éducative, entre idées et actions, à l’articulation des deux, sans que l’on puisse prétendre que la réduction de l’une à l’autre puisse s’opérer ».

« Or, il faut bien le dire, écrit ce spécialiste de la pédagogie, cette spécificité a été le plus souvent recouverte, ignorée. Par malveillance ? Non, par assimilation et par intégration à la catégorie qui semblait la plus noble : celle de la pensée, celle de la théorie ». De nombreux pédagogues se sont retrouvés ainsi catégorisés de philosophes, de théoriciens de l’éducation, de penseurs de l’éducation sans que l’on parle d’eux comme pédagogues. Mais parfois aussi, cette spécificité de la pédagogie, a été rendue invisible en intégrant le pédagogue dans la seule catégorie de la pratique. Les pédagogues ont alors été classés sous les noms d’enseignants, d’éducateurs, de formateurs, une classification ne rendant pas visible que leurs pratiques étaient affectées par leur pensée de l’éducation.

La définition de la pédagogie est aujourd’hui importante à préciser, pour la sortir des amalgames, de l’imprécision, et surtout pour montrer sa légitimité, car son champ d’action et son statut sont toujours soumis à des luttes de territoire et des pressions institutionnelles. Sa définition en terme de « théorie pratique » devrait apaiser ces tensions en montrant que les savoirs spécifiques qui émergent du travail du pédagogue sont des savoirs essentiels. Ne remplaçant pas les savoirs sur l’éducation construits scientifiquement, mais étant complémentaires. Tous utiles aux enseignants.


Ressources bibliographiques :

  • Fabre, M. (2003). La pédagogie. Une théorie orientée vers la transformation de la pratique. Educateur, 3, 17-20.

  • Fabre, M. (2002). Existe-t-il des savoirs pédagogiques ?. In J. H. Houssaye, M. Soëtard, D. Hameline, M. Fabre, Manifeste pour les pédagogues (pp 99-124). Paris : ESF.

  • Hameline, D. (199). Pédagogie. In R. Hofstetter et B. Schneuwly. Le pari des sciences de l’éducation. Paris-Bruxelles : De Boeck. Collection Raisons éducatives.

  • Hameline, D. (1998). Pédagogie. Le statut. CD-ROM. Encyclopédie Universalis.

  • Hofstetter R., Schneuwly B., Lussi Valérie & Haenggeli-Jenni Béatrice (2006). L’engagement scientifique et réformiste en faveur de la «nouvelle pédagogie». Genève dans le contexte international - premières décades du 20e siècle. In R. Hofstetter & B. Schneuwly (Ed.)

  • Passion, Fusion, Tension. New Education and Educational sciences – Education nouvelle et sciences de l’éducation (end 19th - middle 20th century – fin 19e - milieu 20e siècle) (pp. 107-142). Berne : Lang.

  • Houssaye, J., Soëtard, M., Hameline, D. et Fabre, M. (2002). Manifeste pour les pédagogues. Paris : ESF.

  • Houssaye, Jean (2002). Premiers pédagogues: de l’Antiquité à la Renaissance. Éd. ESF

  • Houssaye, Jean (2007). Nouveaux pédagogues (T1). Pédagogues de la modernité. Éd. Fabert.

  • Houssaye, Jean (2007). Nouveaux pédagogues (T2). Pédagogues contemporains. Éd. Fabert.

  • Houssaye, Jean (2010). Nouveaux pédagogues (T2). Pédagogues de demain. Éd. Fabert.

  • Meirieu, Philippe : Site Histoire et actualité de la pédagogie http://www.meirieu.com

  • Minois, G. (2006). Les grands pédagogues. De Socrate aux cyberprofs. Paris : Éd. Audibert.

  • Pastiaux Georgette et Jean (1997-2014). _La pédagogie. Retenir l’essentie_l. Éd. Nathan.


Les grands pédagogues

Ce sont des pédagogues, ainsi des éducateurs qui élaborent une pensée de l’éducation cherchant à conjoindre la théorie et la pratique à partir de leur propre action. Ils sont dits « grands » car ils ont une influence indéniable en matière d’éducation au long des siècles.

Ils sont présentés par ordre d’apparition dans les grandes époques historiques :

  • Les pédagogues de l’Antiquité, du Moyen Âge, de la Renaissance.
  • Les pédagogues de la modernité (du XVIIIe –XIXe –XXe jusqu’à 1960)
  • Les pédagogues de la post-modernité du XXe siècles (dès 1960) au XXIe siècle.

Références :

  • Houssaye, Jean (2002). Premiers pédagogues: de l’Antiquité à la Renaissance. Éd. ESF

  • Houssaye, Jean (2007). Nouveaux pédagogues (T1). Pédagogues de la modernité. Éd. Fabert.

  • Houssaye, Jean (2007). Nouveaux pédagogues (T2). Pédagogues contemporains. Éd. Fabert.

  • Houssaye, Jean (2010). Nouveaux pédagogues (T2). Pédagogues de demain. Éd. Fabert.

  • Meirieu, Philippe : Site Histoire et actualité de la pédagogie http://www.meirieu.com

  • Minois, G. (2006). Les grands pédagogues. De Socrate aux cyberprofs. Paris : Éd. Audibert.

  • Pastiaux Georgette et Jean (1997-2014). La pédagogie. Éd. Nathan.

  • Le Jeu des pédagogues : http://www.meirieu.com/PATRIMOINE/cartes_pedagogues.pdf


Les grands courants pédagogiques

Les pédagogies sont multiples, les manières de les classer aussi. Vouloir comparer les pédagogies demeure un casse-tête et un défi ! On peut néanmoins les placer dans de grands courants suivant leurs finalités, leurs conceptions de l’apprentissage et leurs pratiques éprouvées.

Quelques exemples :

**Qu’est-ce qu’un courant pédagogique ? **Auteur Laurent Sampson, Collège Saint Paul. Sous la direction de Suzanne Guillemette. Université de Sherbrooke.

Sont situés ici 4 courants pédagogiques (courant humaniste, cognitiviste, constructiviste et socioconstructiviste, behavioriste.

1. Courants classés en fonction des modèles théoriques de l’apprendre

- Premier courant : Conception empiriste de l’apprendre > Les pédagogies de l’imprégnation et de la mémorisation.

- Deuxième courant : Conception behavioriste de l’apprendre > Les pédagogies de l’entraînement par conditionnement et renforcement.

- Troisième courant : Conception constructiviste et socio-constructiviste de l’apprendre >
les pédagogies de la construction du savoir par l’activité du sujet et ses interactions avec ses milieux.

- Quatrième courant : Conception cognitiviste et sociocognitiviste de l’apprendre. Les pédagogies du traitement de l’information, des intelligences multiples, de la créativité.
Les pédagogues sont en état de veille sur les travaux des neurosciences cognitives et affectives.

- Cinquième courant : Conception complexe de l’apprendre > pédagogie de la pensée complexe, de la créativité.


Références :

  • Avanzini, G. (1985). Esquisse d’une comparaison entre les pensées pédagogiques du XVIIIe et du XXe siècles. Éducation et pédagogies au siècle des Lumières. Angers : Presse de l’Université Catholique de l’Ouest.

  • Avanzini, G. (1996). La pédagogie aujourd’hui. Dunod.

  • Prigogine Ilya (1996). La fin des certitudes. Temps, chaos et les lois de la nature. Éd. Odile Jacob.

  • Hameline, D. (1986/2000). Courants et contre-courants dans la pédagogie contemporaine. Sion : ODIS.

  • Hameline, D. (1992). L’éducation dans le miroir du temps. Paris : Lep. Loisirs et pédagogie.

  • Giordan André. Des modèles pour comprendre l’apprendre : de l’empirisme au modèle allostérique. http://www.andregiordan.com/articles/apprendre/modalost.html

  • Giordan André. Le modèle allostérique et les théories contemporaines sur l’apprentissage. http://www.ldes.unige.ch/publi/rech/th_app.htm

  • Giordan, André. Les nouveaux modèles pour apprendre : dépasser le constructivisme ? / André Giordan. In: Perspectives. - Paris. - Vol. 25(1995), no 1, p. 109-127.

  • Meirieu, Ph. (1994). Histoire et actualité de la pédagogie, repères théoriques et bibliographiques. Outils de base pour la recherche en éducation. 1. Université Lumière-Lyon 2.

  • Morin, E. (1999). La tête bien faite. Paris : Seuil.

  • Morin, E. (1999). Relier les connaissances. Le défi du XXIe siècle. Paris : Le Seuil.

  • Morin, E. (1999 b). Les sept savoirs nécessaires à l’éducation du futur. Éd. Seuil. Disponible sur le Site de l’Unesco : http://unesdoc.unesco.org/images/0011/001177/117740fo.pdf

  • Not, L. (1979). Les pédagogies de la connaissance. Toulouse : Éd. Privat.

  • Puozzo, I. (2013). Pédagogie de la créativité : de l’émotion à l’apprentissage. In Les cahiers du CERFEE. N˚33.
    http://edso.revues.org/174

  • Gauthier Clermont et Tardif Maurice (1996). _La pédagogie. Théorie et pratiques de l’Antiquité à nos jour_s. Éd. Gaëtan Morin.

  • Vellas, Etiennette (2007). Comparer les pédagogies : un casse-tête un défi. Éducateur. Numéro Spécial 2007. En ligne : http://www.meirieu.com/OUTILSDEFORMATION/vellas_comparerlespedagogies.pdf

Les théories scientifiques contemporaines sur l’apprentissage pouvant influencer les pédagogies

La grille d’analyse proposée en partie par André Giordan prend appui sur les trois discriminants principaux, les plus souvent avancés dans la littérature : la connaissance, l’élève, la société, la didatique, la créativité. Cette option permet de ranger les multiples approches dans une quinzaine d’ensembles théoriques et de les situer dans l’espace selon six axes:

- axe connaissance : théories académiques, théories technologiques, théories béhavioristes, théories épistémologiques;

- axe société : théories sociales, théories socio-cognitives, théories psycho-sociales, théories multi-variées;

- axe apprenant : théories humanistes, théories génétiques, théories cognitives.

- axe spiritualité : théories spiritualistes

- axe didactique : théories didactiques, modèle allostérique

- axe holistique : théories de la créativité, théories de la complexité

  • Giordan André. Le modèle allostérique et les théories contemporaines sur l’apprentissage. http://www.ldes.unige.ch/publi/rech/th_app.htm

  • Fert Jean-Marc (2011). Éduquer à la complexité. (Teaching complex thinking). Communication au 8ème Congrès de l’Union européenne de Systémique. Bruxelles. En ligne : http://www.meirieu.com/ECHANGES/eduquer_complexite_fert.pdf

  • Fert Jean-Marc (2008). Eduquer pour une société durable. Dieux et autorités en crise.

  • Fert Jean-Marc (2012). Apprendre à penser complexe (tome I). Se relier au monde. Éd. Odin.

  • Fert Jean-Marc (2012). Apprendre à penser complexe (tome 2). Reliances humaines et personnelles. Éd. Odin.

2. Courants classés en fonction des finalités (modèles d’homme et sociétés)

Toute éducation implique une orientation dans le domaine des valeurs et, par là même, touche au problème fondamental des finalités de l’éducation. Ces dernières indiquent le sens de la marche.

Les pédagogies peuvent être classées en trois grandes tendances :

- une perspective individualiste de l’éducation, conçue avant tout comme une action sur un sujet individuel,
- une perspective collectiviste, communautaire, appréhendant l’être humain comme un sujet social,
- une perspective alliant ces deux tendances, la construction de l’homme et du citoyen.

3. Courants classés en fonction des situations pédagogiques

Jean Houssaye (1988), pédagogue, a proposé « le triangle pédagogique » comme modèle de compréhension du pédagogique. Celui-ci peut permettre des comparaisons, des rapprochements entre les diverses situations pédagogiques parce que toutes s’articulent autour de trois éléments — élève, savoir, enseignant — , dont deux sont prédominants sur le troisième.

Ce triangle permet de dégager trois processus distincts selon les axes privilégiés. Lorsque l’axe Savoir/Enseignant est prédominant dans la situation pédagogique, on se situe dans le processus enseigner, le professeur dialogue avec le savoir et l’élève/apprenant est renvoyé à ce que Jean Houssaye nomme la place du mort. Lorsque l’axe Enseignant/Élève prédomine dans la situation, on se situe dans le processus former, ici c’est le savoir qui est mis à la place du mort. Lorsque l’axe Élève/Savoir prédomine, on se situe dans le processus apprendre et l’enseignant ou le formateur est renvoyé à la place du mort.

Le mort dont il est question est le mort du jeu de bridge, précise Houssaye. « Autrement dit, ses cartes sont étalées sur la table et on le fait jouer plus qu’il ne joue. Mais son rôle est indispensable car sans lui, il n’y a plus de jeu. On ne peut s’en passer, mais il ne peut jouer qu’en mineur, sa place étant assignée, définie et déroulée par les autres, véritables sujets de la situation. » Chaque processus lorsqu’il est exacerbé risque de voir le mort jouer au fou: chahut et autres formes de rébellion des élèves dans le processus enseigner ; errances et séduction dans le processus former ; solitude et abandon dans le processus apprendre.


Références :

4. Courants classés en fonction des types de situation d’enseignement

Toute activité d’enseignement propose une situation choisie par l’enseignant. Soit un ensemble de circonstances existentielles dans lequel se trouve impliqué chaque élève et auxquelles il donne des significations personnelles.

Ces situations émanent toutes d’une recherche en éducation conduite au plus proche du terrain scolaire. Elles ont été découvertes, inventées, créées, éprouvées non pas en laboratoire, mais dans les laboratoires vivants que sont les écoles.

- Situations de cours frontaux : cours ou moment ex-cathedra,

- Situations larges confrontant à des problèmes : projet individuel, projet collectif, projet coopératif.

- Situations confrontant à des problèmes programmés : situations-problèmes, problèmes ouverts, problèmes sans question, démarches d’auto-socio-construction, enquête.

- Situations de jeux : jeu libre, jeu symbolique, jeu de rôle, jeu de simulation, jeux sociaux.

- Situations de régulation de la vie et du travail scolaire : Quoi de neuf, conseil de classe, conseil d’école, conseil méthodologique. Ou situations provoquées par de petits outils du type «Ca va, ça va pas».

- Situations d’évaluation : séance d’évaluation portant sur ses avancées personnelles (tests variés, entretiens d’explicitation, séances portfolio, bilans collectifs suivant les situations, mais aussi évaluation des dispositifs, des tâches, des situations elles-mêmes.

- Situations de travail par contrat : plan de semaine, plan de travail, contrat de travail, plus ou moins individuels ou collectifs.

- Situations de réflexion meta : conseil méthodologique, réunion d’analyse des processus d’apprentissage, etc.

- Situations de découverte : centres d’intérêts, visites de musées, d’exposition, rencontre avec des artisans, des artistes, des pratiques sociales ;

- Situations de recherches : enquêtes, consultation de ressources.

- Situations de travail en ateliers : ateliers d’écriture, de peinture, d’art plastique, de musique.

- Situation de travail avec les Médias, images et technologies numériques.


Les Mouvements pédagogiques

Les mouvements et associations pédagogiques regroupent des personnes engagées sur le plan des finalités éducatives. Ils cherchent à faire connaître les pédagogies et leurs nombreux outils permettant de les servir, par leurs écrits, leurs discours, leurs formations, leurs créations d’institutions et par le travail quotidien de leurs membres dans les écoles et lieux de formation.
Nous les présentons, par ordre alphabétique.

  • Association nationale pour le développement de l’éducation nouvelle (ANEN). Fondé en 1970. Regroupant des écoles se réclamant de l'éducation nouvelle, et adhérant à sa charte.
    http://anen.fr

  • Association pour la pédagogie explicite (APPEx). Fondation 2007. Vise à promouvoir et à mettre en pratique la pédagogie explicite.
    http://www.3evoie.org

  • ChanGement pour l’égalité (CGÉ). Belgique. Fondation 1970. Mouvement sociopédagogique d’Éducation permanente. Publie la Revue Traces de changement.
    http://www.changement-egalite.be

  • Cercle de Recherche et d’Action Pédagogique (CRAP) - Cahiers pédagogiques. Fondation 1945.
    http://www.cahiers-pedagogiques.com

  • Centres d’Entraînement aux Méthodes d’Éducation Active. (CEMEA). Fondation 1937. Mouvement d’éducation nouvelle et association d’éducation populaire, de recherche et de rencontre.
    http://formation-cemea.ch

  • Education & Devenir (E&D). Fondation en 1984. Groupe de liaison, de réflexion et de propositions.
    http://www.educationetdevenir.fr

  • Francas. Fondation en 1944. Fédération nationale laïque de structures et d’activités dont la vocation est indissociablement éducative, sociale et culturelle. Ils agissent pour l’accès de tous les enfants et adolescents à des loisirs de qualité.
    http://www.francas.asso.fr

  • Ligue de l’enseignement. Fondation en 1866.
    http://www.laligue.org

  • Lien International d’Éducation nouvelle (LIEN). Fondation 2001.
    http://lelien2.org

  • Groupe belge d’Éducation nouvelle (GBEN). Fondation 1985.
    http://www.gben.be

  • Groupe français d’Éducation nouvelle (GFEN). Fondation 1922.
    http://www.gfen.asso.fr/fr/accueil

  • Groupe luxembourgeois d’Éducation nouvelle (GLEN). Mouvement de recherche et de formation en éducation.
    http://www.glen.lu

  • Groupe romand d’Éducation nouvelle (GREN). Fondation 1999. Revue : Dialogue.
    http://www.education-nouvelle.ch

  • Office central de la coopération à l’école (OCCE). Pédagogie coopérative. Revue : _Animation & Éducation.
    _http://www2.occe.coop

  • Pédagogie Freinet. Fédération Internationale des Mouvements d’École Moderne (FIMEM). Pédagogie Freinet. Fondation 1957. Association de mouvements nationaux, présents dans le monde entier, qui se réclament de la pédagogie populaire et de l’éducation coopérative (pédagogie Freinet).
    http://www.fimem-freinet.org

  • Pédagogie Freinet. Institut coopératif de l’École moderne. (ICEM). Fondation 1947.
    http://www.icem-pedagogie-freinet.org

  • Panote-Pour l’abolition de la note scolaire.
    http://www.panote.org

  • Question de classe(s). Site alternatif d’éducation, de lutte et de pédagogie.
    http://www.questionsdeclasses.org

  • Union sportive de l’enseignement du premier degré. USEP.
    http://www.inrp.fr/mvtspeda/usep.htm